Another K Project
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Another K Project

RPG Inspiré de l'animé K Project ~
 
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 Quoi encore ? Y a eu un meurtre ? Oh et puis merde, j'ai faim moi.

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AuteurMessage
Yôma Kagerou

Yôma Kagerou


Messages : 52
Date d'inscription : 06/11/2014

Quoi encore ? Y a eu un meurtre ? Oh et puis merde, j'ai faim moi. Empty
MessageSujet: Quoi encore ? Y a eu un meurtre ? Oh et puis merde, j'ai faim moi.   Quoi encore ? Y a eu un meurtre ? Oh et puis merde, j'ai faim moi. I_icon_minitimeJeu 6 Nov - 16:54

Non, je mets pas d'avatar là '^'

<< Ce n'est pas en y croyant, du plus profond qui soit, que l'on réussira obligatoirement ce que l'on espère. Ca ne tiens qu'à toi, de le laisser se réaliser ou non. >>

Quoi encore ? Y a eu un meurtre ? Oh et puis merde, j'ai faim moi. 644317CarteDIdentit

Nom :  Kagerou, anciennement Mikado
Prénom : Yôma

Age : 17 ans

Surnom : Nope

Date De Naissance : 24 Décembre


Sexe : Gars


Orientation : Homosexuel à tendance bi, des fois .. enfin, il l'était avant donc voilà

Quoi encore ? Y a eu un meurtre ? Oh et puis merde, j'ai faim moi. 299256QuiEstCe

Physique : Lavé entièrement de la tête au pied, un homme imposant qui pouvait en étonner certains venait d’apparaître dans une chambre plutôt miteuse qui se trouvait dans un bâtiment en ruines, ou c’était ce qu’on pouvait en penser. Sans dessus - dessous, la chambre avait les murs craquelés, des tâches un peu partout pour montrer à quel point cet endroit était vieux, et les verres de la fenêtre étaient totalement explosés . Le lit grinçait, le sol était sale, mais le pire était surtout les bruits assez osés du prostitué de la ville qui ressortaient de la chambre d’un côté et ceux de cris incessants entre un homme et une femme de l’autre. On pouvait dire que cet homme d’environ un bon mètre quatre - vingt n’avait aucune chance et pouvait en faire reculer plus d’un par cette apparence légèrement négligée sur les bords et par son milieu de vie social. Vivant dans un des quartiers les plus mal fréquentés, il n’avait pas vraiment le choix que de séjourner ici durant un bon moment pour pouvoir se débrouiller et ne pas être en manque de moyens pour pouvoir aider son ami qui lui était des plus chers. Ses mains se déplaçant pour pouvoir attraper la serviette qui traînait sur son petit lit miteux, l’adolescent qui avait en faite à peine dix sept ans la passa lentement dans ses cheveux châtains. Plutôt longs, il était à chaque fois obligé de les attacher en une queue de cheval négligée pour ne pas perdre en crédibilité. Une grande mèche tombait sur son visage et cachait en partie son oeil droit par des reflets rouges / roux, il avait toujours eu une coupe de cheveux assez particulière mais il s’en fichait à vrai dire.. Sa couleur était spéciale aussi. De nature blonde, il s’était très vite décidé qu’il voulait changer d’apparence pour mieux recommencer sa vie et se retrouvait alors avec une couleur châtain aux reflets roux qui partait sur un dégradé blond vénitien puis qui finissait par devenir entièrement blond. Sans avoir besoin de les coiffer, le jeune garçon qui se trouvait toujours dans la chambre attacha finalement ses cheveux une fois séchés et attendis tranquillement que les cris de jouissance se terminent pour pouvoir se reposer un peu. Bon, c’était un peu long quand même. Il lui arrivait d’attendre une bonne heure avant que le prostitué daigne enfin arrêter tout son cinéma. Alors qu’il se contentait juste de patienter, assis sur son lit crasseux qui allait bientôt mourir par sa vieillesse et qui commençait déjà à s’écrouler sous son poids.
Il attendait, il attendait toujours en étant juste habillé d’un simple boxer, montrant alors sans aucune gêne son torse nu - et puis, c’était pas comme s’il y avait quelqu’un qui se trouvait dans la même pièce que lui -. Pâle comme un vampire pouvait l’être, sa teinte était légèrement rosée et montrait très facilement le moindre de ses rougissements, dès qu’il faisait de l’exercice, ses joues, son visage devenaient soudainement rouge. M’enfin, ce n’était pas comme s’il rougissait énormément dans sa vie si on retirait l’effort. Une ou deux fois quand il n’avait pas eu l’habitude de voir des filles dans des positions assez aguichantes ou encore quand il venait d’emménager ici, mais il avait fini par s’y habituer. Puis .. il rougissait souvent par la colère aussi, mais ces rougissements n’apparaissaient qu’une fois sa crise de nerfs passée. Aah. Ce qu’il pouvait s’ennuyer dans cette petite chambre où il n’avait rien emmené mis à part ses affaires. Son lit, une petite commode où il entreposait ses vêtements à l’intérieur puis une couverture par terre lui suffisaient amplement. Il lui arrivait des fois d’inviter son ami à venir là, quand il pouvait sortir de l’hôpital pour prendre l’air et pouvoir s’acheter un peu ce qu’il voulait par exemple. A ces moments - là, cet ami n’avait pas d’autre choix que de dormir ici, et Yôma faisait son possible pour qu’il soit des plus confortables. Il le laissait donc dormir dans son lit pendant que lui, il dormait par terre avec une couverture et un coussin. Il manquait d’argent, il en manquait cruellement et s’en voulait énormément. Il voulait faire en sorte que son ami, Kagi, dorme parfaitement bien. Qu’il puisse aussi avoir le droit au confort d’une vraie chambre, mais il n’en avait pas les moyens. Ses traits durs, froids le rendaient pourtant si repoussants. A chaque fois qu’on le voyait dans la rue, on s’éloignait de lui de peur qu’il les agresse ou qu’il ne fasse quoique ce soit. Il en avait prit l’habitude, d’être ainsi rejeté à cause de cette apparence rebelle, et il agissait alors de la façon dont on pouvait s’y attendre. A force de combats, à force de défense, il avait fini par gagner en force et son corps le montrait parfaitement. L’on pouvait voir ses abdos, ses biceps, la moindre partie de son corps était musclée et il faisait de plus en plus peur par le temps qui passait. Ses poings, couverts de cicatrices à force de frappe, il avait toujours des bleus sur son corps, des légères traces de lacérations et enfin, des coupures, un peu partout, comme si les coups qu’on lui donnait n’étaient pas qu’à mains nues. Son corps n’était pas parfait, loin de là. Il avait beau avoir des côtés parfaitement attirants, les traces, les cicatrices le rendait repoussant. Peu de personnes pouvaient trouver ce côté .. charmant. Mais il n’y pouvait rien. C’était aussi simple que ça, il n’y pouvait rien. Ses yeux rivés sur le cadre posé sur la commode de façon banale, on pouvait y voir une photo de famille où la plupart des têtes étaient gribouillées, n’en laissant voir que deux restantes. Lui et son ancien frère. Il ne savait pas vraiment quoi en penser. Son regard se baladant dans la pièce, ses yeux avaient une couleur assez spéciale et singulière. Verts de naissance, ils étaient petit à petit devenu oranges sans raison particulière et, de loin, on ne voyait désormais plus que cette couleur. Orange. Si l’on s’approchait de lui, le vert de ses yeux ressortait soudainement, entourant sa pupille d’une fine touche de vert qui rendait sa couleur exceptionnelle et rare. S’il le voulait, il pouvait charmer les filles, mais il n’en voulait pas. Il n’était pas intéressé dans la gente féminine. Enfin, pas spécialement intéressé, il n’était pas un homosexuel de souche, un pur et un simple gay. Non. Il éprouvait toujours une très légère attirance pour le corps des femmes, même si, par le temps, il était de moins en moins attiré par leurs formes. Ca ne devenait plus très flatteur pour lui, il devenait vieux à son goût. Ce n’était pas très normal pour lui de devenir aussi peur réactif face à une femme qui montrait ses atouts et cherchait à lui faire plaisir. Il avait pourtant donné sa première fois à une personne du sexe opposé, et il avait continué ainsi pendant plusieurs années avant de soudainement s’en lasser. Sans aucune raison particulière en faite. Prenant son portable pour appeler un numéro qu’on lui avait donné -numéro d’hôpital-, il attendit, l’oreille collée au combiné en patientant tant bien que mal qu’on lui réponde. Assis sur le bord du lit, le tatouage de son clan se montrait sur sa clavicule gauche, rouge, brillant, il s’en fichait à vrai dire des tatouages permanents. Il y était habitué, à vivre dans un quartier où pouvaient se trouver des yakuzas ou d’autres de ce genre là, il n’y faisait même plus attention. Pour preuve, il était lui aussi parti suivre la mode de son groupe. Plus ou moins vieux, il s’était amusé dessus. Le premier qu’il avait fait, qu’on ne voyait pas vraiment sur le coup se situait en bas du dos, plutôt sur la droite. En amour et en souvenir pour son frère, il s’était décidé d’y écrire le kanji de son prénom. Nagi. Plutôt discret, il le montrait rarement pour ne pas perdre de sa fierté, pour ne pas montrer aux autres qu’il avait aussi eu cette période de détresse, cette période de déprime. Il le gardait, dans tous les cas, il n’avait pas le choix, mais il le gardait en souvenir, il le gardait pour se ressasser le peu de souvenirs qu’il avait, le peu de souvenirs qui pouvaient lui revenir. Il avait tout oublié, jusqu’à la tête de ses parents, mais seule la tête de son frère l’intéressait. M’enfin, ce n’était pas le sujet.
Dans tous ces tatouages, le plus voyant, le plus intéressant était bel et bien l’immense dragon qui couvrait une bonne partie de son dos. Lui qui s’était fait plaisir à ce niveau là, il n’avait pas le droit d’aller aux bains publics, c’était certain, mais qu’est - ce qu’il pouvait s’en ficher lui. Il n’y allait jamais de toute façon. A chaque fois qu’il retirait sa chemise ou son haut, on le regardait de cet air hésitant. Certaines pouvaient le trouvant séduisant avec ce tatouage, d’autres pensaient aussitôt à la mafia, aux criminels. Mais sa voix marquait les esprits. Il avait une voix grave, qui résonnait dans les pièces et qui obligeait ensuite aux autres de l’écouter, de l’obéir. Il avait une voix forte, portante. Ses vêtements, simples tout en ne marchant pas dans les clichés des racailles, avaient toujours une touche personnelle. Il faisait retomber son gilet, il portait une chemise peu boutonnée, un jean un peu trop grand, tout pouvait apporter une touche assez .. particulière. Il n’achetait pas de vêtements, il les volait. Il n’avait pas le temps ni les moyens. Donc il les volait, en prenait des trop grands. Les rares qu’il achetait n’étaient que l’argent que son ami lui obligeait d’utiliser pour lui. Car oui, celui - ci ne voulait pas être traité différemment juste pour sa maladie malgré toute la reconnaissance que Yôma pouvait porter sur lui.


Caractère :

Aah, ce qu’il se faisait chier actuellement. Il n’aimait pas attendre, ça, c’était certain, il ne le supportait pas. Le fait d’être dans l’impatience l’énervait. Lui qui attendait qu’un garçon vienne le voir, il était juste entrain de péter un plomb à cause de son retard. Non mais voilà quoi, c’était osé quand même d’avoir une heure de retard. Ce n’était pas comme s’il était colérique, loin de là voyons ! Il s’énervait tout le temps pour un rien, mais ça n’avait rien à voir ! Il était juste ainsi, à trouver la vie insupportable, les faits du quotidien ennuyant et lassant. Il voulait de l’action, il en voulait, c’était pour ça qu’il se battait dès qu’il en avait l’occasion. Il sortait, cherchait une quelconque personne à battre avant de se jeter dessus et défouler ses poings qui étaient déjà en manque depuis un bon bout de temps. Il n’aimait pas la platitude de la réalité, de la vie courante, il s’était fait à cette vie de gitan alors pourquoi est - ce que les autres s’en plaignaient ? Il était très bien une fois dehors, en ayant le choix de se battre ou non. C’était comme ça et rien n’y changeait.
Silencieux, il se mettait rarement à parler par économie de temps. Il n’aimait pas cette vision qu’avaient les autres, de parler en racontant sa vie, de raconter ce qu’on faisait. Qu’est - ce qu’il en avait à foutre exactement ? Qu’est - ce qu’il en savait même ? Il n’était pas sociable du tout, seul une poignée de personnes pouvaient être ses amis, et malheureusement, il n’arrivait pas à leur faire comprendre une aussi simple chose que cela. Pourquoi ? Personne le savait. Il n’avait jamais réussi à montrer un cinquième de ses sentiments, seule la colère passait. Il avait beau essayé de se ruer vers une personne pour l’aider, il avait beau vouloir plaire à quelqu’un, il finissait toujours pas se figer, incapable de continuer. Il était incapable d’aller vers une personne de lui - même, il était incapable de se débrouiller seul quand il était avec un groupe de personnes. C’était un enfant, un enfant qui n’avait jamais eu l’occasion de se débrouiller, de montrer ses émotions, alors que pouvait - il en faire ? C’était beaucoup trop tard pour lui de toute façon. Il trainait avec les autres, il avait beau faire des efforts, ces efforts n’étaient jamais apparus. Et l’on se plaignait alors qu’il ne faisait rien .. il en faisait, il faisait énormément de choses à son goût, peut - être trop. Mais personne daignait voir ses efforts. Personne. Alors il abandonnait, il abandonnait avant même de commencer sérieusement, il commençait de toute façon à se dire que, qu’importe sa volonté de changer, il ne pouvait pas. Il en était incapable.
Frustré, découragé, il sortait toujours sa cigarette et son briquet quand il se retrouvait ainsi, à fumer pour se changer les idées. Et ce, qu’importe l’occasion, de toute façon, il était très souvent frustré. Frustré de ne pas pouvoir faire ce qu’il voulait, frustré de ne pas se faire comprendre, de ne pas pouvoir se défouler. Si l’on regardait attentivement ses faits et gestes, chaque action avait une signification. Il se battait pour se défouler, pourquoi se défouler ? Car il n’arrivait plus à se faire comprendre par les paroles et par d’autres sentiments que la colère. Il fumait pourquoi ? Car il n’y arrivait pas non plus. Et la nourriture alors ? Il mangeait énormément ? Est - ce qu’il était au point où il allait aussi verser sa frustration dans la nourriture ? Pas encore. Mais cette fois - ci, c’était une question d’argent. Il n’avait pas les moyens de dépenser autant qu’il le voudrait pour pouvoir se changer les idées via la nourriture, qui coûtait cher, il fallait l’avouer. Même si l’argent n’y était pas, il arrivait toujours à en voler d’une façon ou d’une autre. Faisant croire à certains qu’il venait de tout perdre, à d’autres qu’il était un maître dans l’assurance, ou en piquant tout simplement les porte feuilles ou les affaires de qualité. Il était rapide et discret bien sûr, mais, avec tous les vols qu’il faisait, il finissait toujours par se faire prendre à un moment. Et c’était à ce moment là une vraie course poursuite qui se passait dans la ville entière avant qu’il ne soit enfin tranquille, ou bien qu’il soit mit en prison. Dans sa vie, énormément de choses le liait aux autres. A l’époque, il n’avait pas eu d’autres choix que d’aller en prison malgré son jeune âge, devenant alors un habitué de cet endroit sans pourtant y séjourner plus d’une semaine à chaque fois. On prenait de la peine pour le petit garçon qu’il était, et plus il grandissait, plus il se liait aux policiers. Grandissant souvent avec son entourage entier, il se liait d’amitié, il parlait avec eux, il restait toujours ainsi, même s’il savait que tout cela n’avait pas lieu, les flics restaient quand même avec lui pour se changer un peu les idées. Pas une seule personne savait pourquoi il volait autant ni pourquoi il vivait toujours autant de façon misérable. Il ne parlait jamais après tout, comment pouvait - on le deviner ? Sa vie tournait autour de choses plutôt banales à son goût, et il n’avait pas à raconter sa vie aux autres. Il ne lui suffisait que d’une seule personne pour le calmer, une seule à qui il pouvait se confier, à qui il pouvait faire confiance, et seule cette personne connaissait absolument tout de son passé. Enfin, dans les limites du possible bien évidemment, mais oui, il ne parlait jamais de lui si l’on omettait ce détail. Jamais il n’exprimait ses sentiments après tout, alors de quoi pouvait - il parler avec les autres ? C’était totalement incensé que de penser, ne serait - ce qu’une seule seconde, qu’il puisse être un garçon tout à fait normal ou qu’il aie lui aussi une façon de penser assez .. grotesque. Il n’était pas comme ces héroïnes d’anime qui, au premier venu, venaient raconter les malheurs qui leur tombaient dessus. Il n’était pas non plus ces héros beaux, ténébreux, qui avaient une part mystérieuse, un côté charmeur et tombant. Il n’était pas le garçon parfait des séries américaines. Il n’était rien de cela. Et il ne comptait pas changer.

Quoi encore ? Y a eu un meurtre ? Oh et puis merde, j'ai faim moi. 840118LePass

Histoire : La solitude l’envahissait, petit à petit, il se sentait mourir, il se sentait perdre vie dans ce monde banal, plat et vide d’émotions comme l’amour, la tendresse ou encore la gentillesse. Ce monde l’ennuyait comme jamais, il n’avait jamais su quoi faire dans ce monde de banalité, mais il restait en vie, accroché à un fil fin qui pouvait se briser d’un moment à l’autre, il se contentait juste de survivre chaque jour sans se poser de questions. Sa vie n’avait jamais été des plus intéressantes pour lui. Jamais il n’en avait voulu mais on lui avait donné le fardeau de vivre dans des conditions horribles, des conditions totalement invraisemblables. Il haïssait le monde, il le haïssait tellement. Il haïssait ces personnes riches ou encore toutes ces personnes qui ne vivaient que par l’argent, que par les relations. La haine le couvrait entièrement.
Né d’une famille riche le jour de Noël, Yôma, premier garçon de la famille Mikado, était donc l’aîné, celui qui était censé être l’héritier, celui qui allait avoir tous les cadeaux, celui qui allait avoir toute l’éducation ou encore celui qui avait le plus d’attentes. Il avait beau être chouchouté, être celui qui attirait l’attention, jamais, au grand jamais il n’avait voulu cet argent ou de toute cette affection qu’on lui portait. On faisait en sorte qu’il soit droit, qu’il soit bourré de bonnes manières. C’était un bon enfant, il n’y avait aucun doute sur cela, mais il était juste gêné de tout cet amour, de toute cette attention qu’on lui portait. Dès sa naissance, dès le début de son existence, il n’avait pu ressentir, redonner cet amour qu’on lui offrait ou apprendre à donner de l’attention. Il n’avait pas cette empathie innée, il n’avait pas cette gentillesse, cette générosité d’enfant, cette gourmandise, cette façon de parler assez hasardeuse, mais il voulait juste être un peu mieux, un peu comme les autres. Même après la naissance de son frère, il avait du mal. Il aimait son frère, il faisait toujours son possible, mais il n’était pas celui qui arrivait à le montrer. Il n’avait eu aucune réaction à la découverte de sa mère  enceinte d’un petit garçon qui allait donc être son petit - frère. C’était .. étrange pour lui d’avoir un plus petit que soi. Mais dès la naissance du petit blond, il en était tombé sous le charme, le trouvant alors adorable, à croquer, comme si une merveille venait de prendre vie. De ses yeux, on voyait toute l’affection qu’il portait à son frère une fois qu’il arriva dans la famille. Nagi. Il l’adorait déjà, il voulait l’aider plus tard pour ses devoirs, il voulait s’amuser avec lui, il voulait lui apprendre tout ce qu’il avait apprit, il voulait tant devenir l’enfant modèle, mais on lui en demandait toujours plus pour être un enfant modèle, de plus en plus. C’était un enfant rebelle, qui refusait souvent la plupart des tâches qu’on lui demandait de faire. C’était simple, ce n’était pas grand - chose, c’était quasiment rien pour un enfant mais il ne voulait pas de toutes ces attentes. Toujours des “mais”, toujours des “il n’en voulait pas”. Il était souvent collé à son petit frère Nagi, il le regardait toujours du coin de l’oeil pour l’aider si jamais il en avait besoin mais n’avait jamais réellement osé le montrer pour faire son travail de grand - frère. Dès qu’il tombait, il courrait vers lui avant de bloquer à cause de son manque d’affection, perdu par la peur ou l’ignorance. Il était alors obligé d’attendre, il restait alors caché du petit blond qu’il ne voulait pas décevoir. Le coeur d’un enfant était compliqué, horrible et sans merci. On pouvait déjà savoir que ses sentiments étaient étouffés et qu’ils allaient le rester durant toute sa vie, c’était ainsi, ce côté de lui ne pouvait pas changer malgré le temps qui pouvait passer, cela allait rendre sa vie douloureuse. Il restait à ses côtés en étant alors plutôt blasé, sans émotions. Seule la nuit montrait une très légère partie de lui, qui le rendait calme, apaisé une fois fatigué. Il était câlin sans totalement l’être, il aidait son petit frère à se calmer dès qu’il faisait un cauchemar et le serrai lentement, de ses frêles bras, contre lui pour ainsi lui changer les idées. Il était capable de rester éveillé toute une nuit entière si c’était pour le bien de ce petit enfant qu’était Nagi. Il le cachait chaque jour, il tenait à ne pas montrer la fatigue qu’il cumulait pour le bien de son frère, mais il en prenait énormément soin en réalité. Il avait beau peu parler ou faire croire qu’il ne montrait aucune attention à son petit frère adoré, il l’observait, il regardait le moindre de ses traits pour savoir comment il allait et comment est - ce qu’il pouvait alors le calmer sans la parole. Il avait apprit à reconnaître chaque changement de traits, chaque émotion ressentie par le second. Sa vie tournait autour de sa famille bien aimante. Sa vie tournait autour d’un seul et même but qu’était l’amour pour son frère. Oui, il l’aimait, oui il l’adorait comme un frère aimerait tout le reste de sa famille, mais il ne savait pas le montrer. Il s’en montrait incapable. Il se connaissait mal, il ne se contrôlait pas non plus. Souvent puni dans sa chambre, il s’enfuyait toujours de celle - ci pour se coller à son frère et regarder la télé avec lui ou encore pour le regarder s’amuser.
L’école avait ensuite commencé, bien sûr, le petit Yôma allait à son école seul vu que ce n’était qu’à cinq minutes de chez lui et que, de toute façon, il ne voulait pas qu’on vienne l’accompagner. Il ne se trouvait pas abandonné ou quoique ce soit, et encore heureux, il voulait juste de la solitude et du calme. Une ambiance apaisante, naïve et parfaitement paisible. C’était parfait pour lui que de pouvoir se relâcher. Il attendait ensuite que son petit frère aille à l’école pour pouvoir l’accompagner, s’étant toujours demandé ce qu’il pouvait bien faire pour l’aider. Le temps passait ainsi, l’année s’en suivait et il allait bientôt fêter ses sept ans en même temps que de fêter la célèbre fête de Noël. Même s’il avait tout pour plaire, il n’aimait pas étudier ou encore passer son temps à ne rien faire sur une chaise plutôt que de pouvoir bouger. Il voulait juste sortir au plus vite et pouvoir être tranquille. Il avait donc le malheur de découvrir les cours de rattrapage au jour tant attendu de Noël, qu’importe l’excuse de l’anniversaire ou de la fête, on refusait de le laisser sortir tant qu’il n’avait pas fini ce qu’il avait à faire. Ce qu’il avait à faire ? Un contrôle, un fichu contrôle qui n’était censé durer qu’une petite demi - heure. Mais il n’avait tellement pas envie de le faire ou juste d’écrire qu’il avait plutôt prit une heure et demi. Une demi - heure pour s’installer et une heure à bouder …
A cette époque, on pouvait dire qu’il était des plus mignons et des plus charmants en apparence. Ses cheveux blonds tombaient lentement sur son visage et lui donnait un air décoiffé sans non plus qu’il paraisse être le rebelle qu’il était. Ses yeux verts, qui autrefois n’avaient que quelques touches orangées faisaient alors craquer toutes les personnes qui avaient eu l’occasion de croiser son regard. C’était un regard rempli d’émotions, où on pouvait lire comme dans un livre ouvert tout ce qu’il ressentait comparé aux autres traits de son visage. On pouvait y voir l’étonnement, la surprise, la joie ou encore l’ennui. Cela le rendait à la fois unique et craquant. Et alors qu’il sortait enfin de cet endroit misérable qu’était l’école, une vraie prison pour lui, son chemin fut coupé par l’arrivée d’une voiture plutôt banale pour ses yeux qui était pourtant assez luxueuse. Un homme, d’une vingtaine d’années l’y attendait, accompagné d’autres dans l’arrière de la voiture, le petit Yôma ne savait pas vraiment quoi penser. Ils paraissaient .. assez étrange. Comme une  pointe de sadisme les entourant. Il avait beau chercher, il ne comprenait pas vraiment où ça pouvait en venir. Les regardant longuement en serrant son petit sac, il écouta alors le discours de l’homme au volant, qui disait accompagner le petit blond jusqu’à un endroit secret, où ses parents l’attendaient pour fêter Noël. Ah. Donc ses parents l’attendaient avec Nagi non ? Son regard cherchait toute trace de mensonge avant de finir par abandonner, se laissant entrer dans la bagnole qui puait l’alcool et la fumée. Il ne connaissait pas toutes ces odeurs, il était dans un tout autre monde mais il se laissait faire. Ces hommes lui avaient donné un tissu pour mieux respirer et, depuis, il avait l’impression de délirer. Sa vision était floue, mais il se sentait calme, sans aucun autre problème. Pour qu’il soit calme, on lui avait fait inhaler un calmant assez fort, qui lui donnait des vertiges tellement cette chose pouvait être puissante. Ce qu’il  ne savait pas, c’est qu’en même temps, il avait inhalé une drogue d’autant plus puissante qui allait prendre du temps avant de faire effet. Il se laissait emmener avant de regarder le paysage arrêter de bouger petit à petit. Ecoutant l’homme de la vingtaine d’années prendre son téléphone et appeler une personne. Il s’en fichait à vrai dire de tout ça, ce n’était pas ses affaires et il n’avait pas à écouter la conversation des autres, mais c’était plus fort que lui. Il devait écouter cette conversation pour savoir pourquoi ils s’arrêtaient et pourquoi est - ce qu’il se mettait à téléphoner en plein milieu du chemin, chose assez étrange pour lui étant donné qu’il ne savait même plus où il était :

<< Comment ça vous n’en voulez plus ?! Vous êtes au courant que c’est qu’un gosse ?! [...] Je veux bien ça ! Mais quand même ! Vous n’allez pas l’abandonner car il fout rien ! [...] Et vous nous le laissez ?! Comme ça ?! Comme si ce gosse allait oublier ses parents ! >>

Il n’avait tout d’abord pas voulu y croire, il se disait qu’il se trompait totalement de personnes, que ça ne pouvait pas être ses parents. C’était le jour de son anniversaire après tout, il devait le fêter avec Nagi ! Il se devait de le fêter avec sa famille ! C’était Noël ! C’était son anniversaire ! Ils avaient prévu une grande fête ensemble ! Même lui, le petit garçon qu’il était avait préparé un cadeau pour son petit frère ! Ce cadeau qui était resté chez lui, dans sa chambre sous son oreiller, il était censé être pour son frère et il n’allait donc jamais pouvoir le lui donner en main propre ? Les larmes lui montaient petit à petit, au fur et à mesure qu’il comprenait l’intensité du problème. C’était impossible qu’on l’abandonne ainsi, lui, qui venait tout juste d’avoir sept ans ! Etait - ce parce - qu’il n’étudiait pas assez ? Que son travail était trop .. superficiel ? Ou bien ils n’en voulaient plus et étaient beaucoup mieux avec Nagi ? Cela faisait deux heures que la voiture roulait loin, toujours aussi loin pendant que la tête blonde reposait contre le torse d’un des homme, en larmes. Il avait besoin de réconfort après tout. Il était fatigué, il se sentait faiblir. Sanglotant de plus belle en finissant par repenser à sa famille, il ne pouvait oublier tout cela. Pourquoi l’avait - on abandonné ? Pourquoi ainsi ? Sa vie venait de s’effondrer, elle venait de perdre tout son sens. Il avait pleuré durant ces deux heures, il se ressassait encore et encore les rares moments où il avait pu profiter de son petit frère. C’était un idiot. C’était un idiot. Il s’en voulait tellement d’être si peu expressif, il s’en voulait de ne pas avoir pu être avec lui aussi souvent qu’il le voulait, de ne pas l’avoir aidé. La haine, le remord, le chagrin, tout s’emparait de lui. La drogue qu’il avait inhalé lui faisait croire tout ce qu’il entendait. Il était persuadé qu’on l’avait abandonné, il avait oublié son nom de famille, il avait oublié pourquoi il était à l’école ce jour là. Oui, c’était vraiment horrible pour lui.
Les années passaient, des années où il dut s’habituer à son nouveau mode de vie qui devenait bien compliqué pour un garçon élevé dans la richesse. Il vivait désormais dans un des milieux les plus pauvres, où tout le monde habitait dans la même misère. Des enfants, d’autres familles, avaient eux - aussi été abandonnés. Ses yeux reposaient sur tous les bijoux de valeurs qui pouvaient pourtant faire gagner une fortune. Mais il n’y en avait pas assez. A peine assez pour pouvoir faire en sorte que tout le monde puisse manger une semaine, ni plus, ni moins. Les enfants, de tout âge, venaient chaque jour remplir cet endroit de misère. Ils venaient tous en pleurs, de tous les milieux, ils gardaient tous une image de leurs parents, de leur famille. C’était de même avec l’aîné de la famille Mikado, lui qui avait une photo de sa petite famille, il avait tout rayé. Seule la tête de son frère restait, tout le reste, que ce soit sa mère, son père, ses grand - parents ou encore un quelconque ami, il avait tout rayé. Les larmes brouillaient la photo, le visage de Nagi était alors la seule chose qui pouvait lui rester en mémoire. Il voulait tout oublier. Il voulait tellement le revoir.  
Yôma avait donc fini par tomber dans ce milieu là, un milieu de misère où il devait se battre pour manger. Bien vite, il avait commencé à voler pour satisfaire ses besoins, commençant d’un simple vol en passant derrière certaines personnes à des cambriolages en petit groupe dans les magasins, dans les bijouteries. Ses traits se durcissaient, changeaient bien vite par le temps passant, il était recherché, lui et tous ses amis, ils étaient recherchés.
D’un petit garçon craquant et calme, on retrouvait désormais un garçon d’une dizaine d’années, commençant à grandir, avec des yeux qui devenaient de plus en plus oranges par le temps. Ses cheveux blonds poussaient lentement, et il avait fini par faire une coloration châtain pour changer et oublier son passé, pour devenir différent, pour qu’on l’oublie. Il en devenait effrayant par certains moments, et avait perdu l’envie de rire avec les autres, l’envie de s’accrocher, de tenir aux autres. Malgré tous ces changements, une chose demeurait dans son caractère. Et bien évidemment, rien ne pouvait le retirer de sa personnalité. Rien ne pouvait retirer ce côté discret et ce côté qui faisait de lui un sans coeur d’apparence, une personne qui n’arrivait toujours pas à montrer ses sentiments par le biais de paroles ou encore de gestes, oui, il n’avait pas changé. Durant sa croissance, ces hommes avaient fini par lui donner un tout autre nom, pour qu’il puisse se débrouiller dans la vie sans pour autant divulguer son vrai nom (qu’il ne connaissait pas). On ne pouvait pas savoir, après tout, ce qu’il pouvait arriver si jamais il se rappelait de son vrai nom de famille ou bien qu’il se mettait à chercher, donc il devait s’habituer à une nouvelle appellation. Kagerou. Pour calmer ses envies d’aller voir sa famille ou encore d’aller les frapper, ils avaient déménagé dans une toute autre ville, puis, quelques mois plus tard, ils lui avaient dit que Nagi, son cher petit frère, était mort dans un accident de route. Chose fausse bien évidemment, mais il y croyait dur comme du fer. A force de vouloir retrouver son petit frère, de le sauver de ces tyrans qu’étaient ses parents, ils avaient fini par user de la manière forte, qui était de détruire le peu d’espoir qui pouvait lui rester. Il avait été coupé du monde, coupé de toute trace de vie et n’avait donc plus aucune attache avec sa famille. Il les haïssait au plus profond de lui. C’était horrible n’est - ce pas ? On lui avait montré le journal, on lui avait montré la preuve comme quo il y avait eu un accident et que c’était bel et bien son frère qui s’y trouvait. Dans ces infos, il n’était pas dit si l’enfant s’en sortait vivant ou non, mais les hommes le lui avaient dit. Il gardait précieusement ce morceau de journal dans son sac avec sa photo, il avait toujours cette photo, toujours ce petit papier abimé par le temps qui ne faisait que de lui ressasser son passé peu triomphant.
Il n’allait pas à l’école, bien évidemment que non, il n’avait ni le temps, ni les moyens d’y aller. Alors il n’avait que les bases de lecture ou de calcul, juste pour pouvoir se débrouiller après tout, seul dans une ville. Il s’était bien vite séparé des autres pour pouvoir vivre dans un endroit un peu plus calme et paisible avec son seul ami il y avait quelques années de cela. Il atteignait presque ses seize ans et voulait devenir une personne totalement indépendante même si les habitudes restaient et que, si on ne le retenait pas, il pouvait détruire toute une vie sans aucun problème. La rancune, le traumatisme qu’il avait eu plus jeune faisait qu’il voulait se venger et en faire de même envers les autres, même s’il ne s’en rendait pas spécialement compte.
Un problème subsistait malgré le temps qui était censé s’améliorer au fil des années. Son ami était grièvement malade et devenait petit à petit de plus en plus faibles, des soins assez fréquents étaient demandés pour qu’il puisse aller mieux, pour qu’il puisse continuer de vivre comme il le faisait auparavant. Qui disait soin, disait aussi de l’argent. Et il fallait payer, payer toutes les opérations que son ami allait devoir subir, mais cette somme d’argent était énorme. Il allait avoir du mal, il le savait, il n’allait pas réussir à tout faire d’un seul trait et ces soins risquaient de durer des années avec le peu d’argent qu’il réussissait à avoir à chaque fois pour lui. Mais il ne voulait pas le faire ressentir à cet homme qui, lui, n’avait jamais rien fait de mal. Même s’il ne le montrait pas spécialement, même s’il se montrait froid d’apparence, il l’aimait comme un ami, comme un frère même. C’était une personne qui avait grandie avec lui, qui avait découvert avec lui une multitude de choses, et ce, il comptait faire son possible pour l’en remercier, pour le remercier de ne pas l’avoir quitté malgré toutes les années de galère, de ne pas l’avoir abandonné. Car oui, pour lui, c’était désormais sa seule famille. C’était la seule personne sur qui il comptait et sur qui il pouvait y déposer toute sa confiance. Il ne voulait pas perdre cet ami si cher pour lui, il ne voulait pas qu’une âme innocente, malheureusement souillée par le délit ne meure. Il le refusait.
Cet ami, ce grand ami qui l’avait tout d’abord initié au combat à mains nus et au combat avec des armes avant de lui présenter le Clan Rouge. HOMRA se nommait - il. Il n’était pas à cent pourcent sûr de vouloir il aller, mais bon, s’il pouvait se défouler en combat, il en était alors parfaitement d’accord. Ca ne le dérangeait absolument pas pouvait - on dire. Même s’il pouvait énerver son clan par ses excès de colère, il en restait une personne vivable et assez calme quand il le voulait. Il remerciait son ami pour cela. Il le remerciait tellement. S’il devait lui remercier pour tout ce qu’il avait fait, il n’en finirait jamais. Yôma se connaissait, et même s’il devait montrer sa reconnaissance envers l’adolescent, il en serait incapable. Alors il se contentait souvent de rester silencieux dans le bar, à espérer qu’il s’en sorte, à espérer qu’il vive. Oui. Il voulait tant rendre heureux ce garçon, Kagi.

Quoi encore ? Y a eu un meurtre ? Oh et puis merde, j'ai faim moi. 403971RougeBleuOuMonochrome

Couleur du Clan : Rouuuuge o/

Endroit Du Tatouage d'Appartenance : Beh, c'est dit dans le physique *flemme de relire*

Comment est - il entré dans le clan : Kagi l'a présenté au groupe !

Son rôle : Combatteur ! Expert ! Wesh !

Quoi encore ? Y a eu un meurtre ? Oh et puis merde, j'ai faim moi. 615484AutreChose

Aime/Aime Pas :
Le calme, combattre, les chiens, les fraises / les soumis, les niais, les joyeux.

Passion : Le combat ! Bien évidemment !

Allergie(s) :Poils de Chat

Peur : D'être abandonné, de s'ouvrir aux autres.

Phobie : Claustrophobe.

Quoi encore ? Y a eu un meurtre ? Oh et puis merde, j'ai faim moi. 463928EtVous

Prénom : Gingembre

Age : Une dent 

Niveau RP : Moi je sais pas, faut demander à ma maman.

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